Backbone Party – Sharmutations (2011)

La décompensation suraiguë du groupe Backbone Party par le micro-organisme BBp1 est à l’origine d’un syndrome sonore particulièrement virulent. Ce phénomène est endémique chez les humains pouvant atteindre jusqu’à 25% de la population mondiale. Son taux de morbidité est élevé alors que son taux de mortalité reste faible. Ce phénomène se transmet par contact direct et indirect avec des ondes sonores produites par des musiciens malades ou porteurs asymptomatiques.
En zone tempérée, il existe des pics épidémiques en automne, en hiver et surtout en été. Des vaccinations systématiques sont effectuées sur les populations jugées à risques dans de nombreux pays.

Les symptômes sonores les plus fréquents appartiennent au sous-type rock indépendant, mais d’autres sous-types existent (alternatif, electro, indus…). Les humains peuvent être co-infectés par plusieurs sous-types de sons en même temps, ce qui peut engendrer une mélodie recombinée résultant de ce mélange.

Ces sons n’infectent normalement que les hommes mais peuvent parfois passer la barrière du sexe, provoquant ainsi la maladie chez la femme, généralement en contact étroit avec un des membres de Backbone Party.

Le niveau d’alerte pandémique passe en phase 5.

Sharmutations, sorti en 2011, a été enregistré à OneTwoPassit